Il éclate au poste de numéro 8 en fin de saison 2007, devient international en 2008 puis rejoint en 2009 le Stade toulousain. Le troisième ligne aile Fulgence Ouedraogo commence le rugby à l'école du Pic Saint-Loup à l'âge de 6 ans et rejoint le MHRC à 17 ans[152]. Il remporte la coupe du monde des moins de 21 ans en 2006 et devient, à 23 ans, capitaine du club. Premier joueur formé au club appelé en équipe de France, son influence sur le groupe montpelliérain est très importante. Pour ses coéquipiers, « les matches sans Fufu ne sont pas du tout les mêmes »[153]. Il reçoit en 2011, l'oscar de bronze Midi Olympique, à la suite de la belle saison en championnat[125].
Le demi de mêlée Julien Tomas débute à l'école de rugby du club en poussins. À 18 ans, il intègre l'équipe première et se trouve sur la feuille de match lors de la victoire en bouclier européen en 2004[146]. International français depuis 2008, il progresse en vision de jeu et en technique avec l'arrivée de Fabien Galthié ce qui lui permet de retrouver le groupe France pour le tournoi des Six Nations 2011[154]. En concurrence avec Benoît Paillaugue, il connaît une saison 2012-2013 difficile et rejoint ensuite le Castres olympique[155]. Le demi d'ouverture François Trinh-Duc découvre le rugby à l'âge de quatre ans au sein de l'école du Pic Saint-Loup où il fait toutes les catégories d'âge en compagnie de Ouedraogo puis rejoint à dix-sept ans le MHRC[152]. Il dispute quelques matchs en équipe première à partir de la saison 2004-2005 puis devient titulaire en fin de saison 2007. Il est le demi d'ouverture titulaire de l'équipe de France entre 2008 et 2011.
Néo-zélandais d'origine, Toleafoa occupe le poste de pilier gauche. Il arrive au club lors de la saison 2002-2003. S'il débute avec les espoirs, ses qualités physiques le font appeler rapidement en équipe première[139]. Il rejoint en 2010 le Lyon OU. L'autre poste de pilier est occupé par Clément Baïocco, issu du centre de formation[146] qui débute en équipe première en 1999 et reste dix ans au club. Le poste de talonneur est occupé par l'international ivoirien, Olivier Diomandé, au club en 2002 à 2008. François Trinh-Duc, issu du centre de formation du club, a joué avec l'équipe première du MHR de 2004 à 2016 Avec la montée dans l'élite en 2003, le club se renforce en recrutant plusieurs joueurs qui jouent un rôle essentiel pour le maintien en Top 16 puis Top 14. Le deuxième ligne Michel Macurdy dispute 174 rencontres dont 138 titularisations pour (10 970 minutes jouées.
Benoît Paillaugue en provenance du FC Auch rejoint le club en 2009 comme demi d'ouverture. Replacé au poste de demi de mêlée par Fabien Galthié, il doit faire face à la concurrence de Julien Thomas et de Jonathan Pélissié mais arrive à s'imposer malgré son petit gabarit (1, 72 m). Conforté à son poste de titulaire par Jack White, il remporte avec ses coéquipiers le Challenge européen en 2016[158], [159]. Au total 9 champion du monde on porté les couleurs du club. 8 avec l'Afrique du Sud: CJ van der Linde, Bismarck du Plessis, Jannie du Plessis, Wynand Oliver, Ruan Pienaar, François Steyn (deux fois champion du monde), Handré Pollard, Cobus Reinach et 1 avec la Nouvelle-Zélande: Aaron Cruden.
Lors de la renaissance du rugby à XV à Montpellier, en 1963 avec la création du stade montpelliérain, Sabathé redevient un équipement consacré au rugby. Le club occupe le stade sous ce nom, puis à partir de 1986 en tant que MRC et ce jusqu'en fin de saison 2007 et son déménagement au stade Yves du Manoir. Le dernier match disputé par le club à Sabathé a lieu le 12 mai 2007 et se conclut par une dernière victoire en top 14 face au Biarritz olympique 39–29[74]. Le stade Sabathé demeure par la suite consacré au rugby puisque l'équipe féminine du MHR ainsi que l'équipe de rugby à XIII montpelliéraine les Diables Rouges y évoluent[31]. Sa capacité totale officielle est de 8 000 places[75].
La même année, le club enregistre la signature d'Olivier Sarraméa qui joue arrière ou ailier. Ce joueur puissant prend sa retraite également en 2010 après avoir joué 91 matchs et marqué 109 points. Lors de la saison 2006-2007, le MHRC, en position défavorable en championnat, fait confiance à de jeunes joueurs issus du centre de formation lors de la dix-neuvième journée. Le talonneur Joan Caudullo arrive en cadets au club en provenance du RC Jacou[146]. Il compte à ce jour 145 rencontres disputées sous le maillot montpelliérain pour 45 points marqués. Louis Picamoles débute au MHRC en minimes et dispute son premier match en équipe première lors de la saison 2004-2005[152].
Deuxième ligne de formation, il est replacé par le duo Galthié-Béchu au poste de troisième ligne aile où ses qualités physiques et son endurance en font un des joueurs les plus redoutés du Top 14[150]. L'international géorgien a été élu meilleur étranger du championnat de France en 2011 par le Midi olympique[125]. Dernière recrue importante dans l'histoire du club, l'ailier Sébastien Kuzbik, en provenance de Clermont. En six ans au MHR, il dispute 105 rencontres et marque 19 essais. Le demi d'ouverture ou arrière argentin Federico Todeschini arrive au club en 2006 et inscrit 450 points jusqu'en 2010, année où il prend sa retraite[151].
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Il joue deux ans au club et marque 277 points en 46 matchs. Autre recrue cette saison-là, Drikus Hancke rejoint le club en novembre, au poste de deuxième ligne. Il devient en 2013 le joueur ayant le plus disputé de rencontres sous le maillot montpelliérain avec 199 apparitions dont 155 titularisations pour 12 569 minutes jouées et, prend sa retraite en fin de saison[149]. Mamuka Gorgodze, jeune géorgien de 20 ans, signe cette même année en tant qu'espoir.
Pièce maîtresse du pack montpelliérain lors des victoires en Pro D2 et en bouclier européen, il quitte le club en 2008 pour rejoindre l'US Dax après avoir disputé 96 matchs dans l'élite et marqué neuf essais. Le club peut également compter sur une forte première ligne composée de Philemon Toleafoa, Clément Baiocco et Olivier Diomandé qui permet à la mêlée montpelliéraine d'être très solide à domicile[145].
Remplaçants: Etrillard, Gigashvili, Warion, Tanguy, Lakafia, Serin, Rabut, Setiano. MONTPELLIER: Bouthier - Rattez, Lucas, Darmon, Rattez - (o) Carbonel, (m) Eymeri - Bécognée, Mercer, Nouchi - Chalureau, Camara (cap. ) - Lamositele, Paenga-Amosa, Forletta. Remplaçants: Langdon, Chauvac, Tauleigne, Doumenc, Foursans, Tisseron, Dakuwaqa, Thomas. Pour conclure la 10e journée de Top 14, le MHR se prépare à un déplacement difficile à Toulon.
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Vainqueur du Challenge européen (2021)[modifier | modifier le code] En Challenge européen, les Montpelliérains de Philippe Saint-André éliminent en demi-finale du Challenge européen les Anglais de Bath sur leur pelouse (10-19) et se qualifient pour la deuxième fois de leur histoire en finale de cette compétition européenne. Le MHR affronte en finale encore une équipe anglaise c'est-à-dire Leicester Tigers à Twickenham en Angleterre et s'imposent 18-17. Champion de France (2022)[modifier | modifier le code] Montpellier, longtemps leader du Top 14 lors de cette saison 2021-2022, finit 2e de la saison régulière du Top 14 derrière Castres. L'équipe du Romanais Philippe Saint-André se qualifie en demi-finale du Top 14, à l'Allianz Riviera de Nice en battant l'Union Bordeaux Bègles, vainqueur du barrage contre les Franciliens du Racing 92.
Calendrier Top 14 : Programme et diffusion des matchs de la
Montpellier Hérault Rugby donne rendez-vous aux London
Montpellier élimine Bordeaux Bègles (19-10), se qualifie pour la troisième fois de son histoire en finale du Top 14 et affronte le Castres olympique comme en 2018. Le MHR devient alors champion de France pour la première fois avec une victoire 29-10 après avoir mené 17-0 dès le premier 1/4 d'heure[64]. En Coupe d'Europe, le MHR élimine les Anglais des Harlequins en huitième de finale, avant de s'incliner en quart de finale (31-19) contre le Stade rochelais[65]. Image et identité[modifier | modifier le code] Couleurs et maillots[modifier | modifier le code] Né de la fusion du Stade montpelliérain et de la section rugby du Montpellier Paillade Sport Club, le Montpellier Hérault rugby a logiquement repris les principaux éléments des équipements de ces deux clubs.
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Enfin, le trois-quart centre Patrick Arlettaz met fin à sa carrière sur le titre de champion de Pro D2. Il dispute son dernier match à Sabathé, le 2 mai 2003 face à Marmande (55-19), en même temps que Didier Bès, les deux joueurs marquent chacun un essai lors de ce match[143]. D'autres joueurs marquent à cette période l'histoire du MRC. Jérôme Vallée signe au club à 22 ans lors de la saison 1998-1999. Au poste de troisième ligne aile, il devient rapidement un des meilleurs preneurs de balle en touche de l'effectif[139].
Lors de la huitième Nuit du rugby, il est élu par ses pairs meilleur joueur du Top 14 de la saison 2010-2011[126]. Il est le troisième meilleur marqueur du club avec 33 essais inscrits. En 2010, le club recrute l'ailier argentin Martín Bustos Moyano qui devient en trois saisons le meilleur buteur du club avec 721 points inscrits dont 154 pénalités[156], il rejoint en 2013 l'Aviron bayonnais. La même année, le Fidjien Timoci Nagusa rejoint l'équipe, il est le meilleur marqueur d'essais de la phase régulière du Top 14 2012 avec onze essais inscrits[157].
Les anciens de 2002-2003 du MRC en mai 2013. En juin 1998, Thierry Pérez et Jean-Jacques Sauveterre sont nommés à la présidence du club et Jean-Pierre Massines devient directeur administratif. L'objectif des dirigeants est de redonner des bases solides au club et un pôle de formation, qui obtient en 2001 l'agrément de la ligue nationale de rugby[16], est mis en place en septembre 1999[17]. Sous l'autorité de Didier Nourault, nouvel entraîneur, le club se classe en milieu de tableau du championnat de 2e division en 2000-2001 ce qui lui permet d'accéder à la Pro D2 la saison suivante[18].
Liste des présidents successifs du Montpellier Hérault rugby Présidents 1986-1989 Jean-Louis Imbach Christian Marty 1989-1998 Daniel Donadio 1998-2002 Thierry Pérez Jean-Jacques Sauveterre 2002-décembre 2008 Thierry Pérez décembre 2008-janvier 2009 Philippe Deffins janvier 2009-2010 2010- 2011 Jean-Pierre Massines 2011- Mohed Altrad Les premiers présidents, lors de la fusion en 1986, sont Jean-Louis Imbach, président du MPSC, anciennement Montpellier Université Club et Christian Marty, président du stade montpelliérain. Ils démissionnent le 29 mars 1989, Georges Privat, secrétaire du club, assurant l'intérim jusqu'à la fin de la saison[135]. Daniel Donadio est élu au cours de l'été 1989 et occupe la présidence du club jusqu'en 1998, année de crise financière et sportive. Aux élections de juin 1998, Jean-Jacques Sauveterre, ancien joueur de l'équipe, prend la présidence du club avec comme coprésident Thierry Pérez, vice-président dans l'équipe précédente[115].
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